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 Welcome to your life Ft. Carter

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Judith Lynch
Judith Lynch
Métier : Étudiante en médecine vétérinaire
Informations : -Elle adore la mode
-Elle est végétarienne
-Malchanceuse en amour

Véhicule : Prius 2016
Dim 4 Mar - 23:08

-Allez, allez s’il te plait, bouge. On va faire quoi quand tu seras énormes hein ? Il fait froid, allez ! Non, je ne vais pas te prendre. Non, même pas avec cette tête.

Je l’observais totalement désespérer et il ne voulait absolument rien savoir de bouger. Le pire, c’est qu’il avait attendu qu’on arrive assez loin de la maison pour simplement, s’écraser au sol, se coucher dans la neige et me regarder, l’âme légère. Non mais oh, on se bouge. Il faisait froid quand même.

-C’est dit que les chiens de ton âge arrivent à faire le double de cette distance. Même le triple. Pourquoi pas toi, hein ?

Et il était là, il restait là, couché au sol à faire le mort en quelque sorte, mais c’était quoi cette idée hein ? Il n’avait pas le droit d’être paresseux, ce n’était pas dans les gênes des bergers allemands. Il fallait ce bougé un peu et puis bon… je n’allais quand même pas l’habituer à faire le mort comme ça dès qu’il en avait marre de marcher. Je tentais de tirer un peu sur sa laisse, de rouler des yeux. Il était craquant, mais ça ne se faisait pas de simplement se laisser mourir pour me faire faire tout le boulot.

-Hhhmmm et si on tentait ça ?

Ok, c’était mal, mais j’avais sorti de ma poche une friandise pour chien. D’accord, c’était de la triche, mais c’était pas dit que je n’avais pas le droit de le faire. Au pire, mon chien deviendrait gros, mais vu qu’il était déjà paresseux, je commençais à me dire que j’allais finir par le traiter pour le diabète canin. Ça irait, je connaissais une presque vétérinaire pas trop nulle dans son domaine.

-Allez, debout !

Miracle, la petite boule de poil c’était redressé, tout heureux de pouvoir avoir une friandise. Je lui avais fait faire quelques pas avant de la lui donner, pour ensuite en sortir une autre avant qu’il ne s’écrase de nouveau en fainéant qu’il était. Bref, j’allais réussir à ne pas mourir congelé en pleine après-midi sur un trottoir du Massachussets. Je souriais, heureuse de prendre l’air. J’allais finir par y arriver avec ce petit monstre. Les manuels sur le dressage canin étaient une chose, en posséder un était totalement différent. J’avais pris le plus mignon, mais aussi le plus casse-pied, mais j’allais finir par le dompter. C’était obligé non ? Sinon… ça faisait mauvaise impression sur mon c.v.

J’étais maintenant super concentrée à faire avancer mon chien en lui promettant monts et vallées, les yeux rivés sur mon chien quand je percutai solidement un mur. Ah non, pas un mur, plutôt un mec. Hm… oups ? Oh merde… un café, café partout…

-Désolé, je ne regardais pas du tout où j’allais. C’est ma faute. Je m’excuse.

Est-ce qu’on pouvait faire plus désolé que cela ? Je le regardais, sincèrement désolé de l’avoir percuté et pendant ce temps, le chien c’était permit de se recoucher sur le dos en mode « Fuck off, j’abandonne » et quand mes yeux s’arrêtèrent sur lui, je n’eux qu’une réaction :

-Ah mais non, ne t’y remet pas, pitié…

Avant de ramener mon regard sur l’homme en question. Je n’osais pas le toucher, mais j’en avais envie, juste pour réparer ma bêtise. Ça irait, mon chien deviendrait vieux dans quoi ? Mille ans ? J’allais m’en sortir. Pour le moment, je devais m’excuser et commencer à regarder où j’allais. J’étais capable de faire ça, oui, oui, promit.
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Gavin Parson
Gavin Parson
Administrateur
Métier : Membre de la garde rouge
Informations : Souhait : Après une mission périlleuse qui s'est soldée par un échec, Gavin, agent du S.H.I.E.L.D à l'époque, s'est retrouvé bloqué sous les décombres d'un bâtiment, avec trois membres en moins et un puzzle géant à la place des os. Les médecins ne lui laissaient aucune chance mais il a pu s'en sortir. Plus tard on lui propose des membres quasi identiques à ceux du bras du Soldat de l'Hiver. Gavin accepte. En arrivant sur l'île, son souhait se réalise, retrouvant ses membres perdus et faisant disparaître les séquelles de son accident, lui offrant une nouvelle vie puisqu'il ne se cache plus contrairement à avant.

Emergence : Parfois, quelques flash se glissent entre deux clignements d'yeux. Il arrive qu'il voit un décor différent de celui de Genosha mais ça ne dure jamais assez longtemps pour qu'il s'en inquiète, préférant se dire qu'il a halluciné ou qu'il s'agit d'une vague souvenir d'un truc vu dans un bouquin ou autre.

POUVOIRS - Téléportation

Il s'agit du seul et unique pouvoir que possède Gavin. Si la chose est bien sympathique pour aller faire ses courses ou rentrer plus vite à la maison, elle a tout de même des restrictions le concernant. Il ne peut se déplacer que dans des endroits connus, sachant que plus le lieu est éloigné, plus le voyage nécessite de l'énergie.

Welcome to your life Ft. Carter 28.21
Inventaire : /
Lun 26 Mar - 23:41

Pressé. Encore et toujours, Carter était pressé. Il devait aller à droite, à gauche, pour régler tellement de problème qu'il ne savait plus où donner de la tête. Il manquait de temps, de bras, de sommeil aussi. Plus encore depuis que Lucy et lui avaient décidé de mettre en place la safe zone. Plus encore quand Armstrong mettait de plus la ville en danger, surtout avec le recrutement d'incompétents dans la police. Des imbéciles qui aimaient jouer avec leur flingue et faire les gros bras, de ce qu'on lui avait dit. Et lui ne savait toujours pas ce que trafiquait le gouvernement. Se rendait-il compte, au moins, qu'ils affolaient la population ? Il en doutait. La pose des grilles relevaient du code rouge et clairement, ce n'était absolument pas malin de leur part d'agir en secret, sans donner une explication. Il avait beau essayer de faire jouer ses relations, le blond ne parvenait toujours pas à connaître le fin mot de l'histoire. Plus personnellement, ce n'était pas forcément la joie non plus. Sa compagne passait plus de temps qu'avant loin de lui. Même s'il se doutait qu'elle était débordée par la politique de son patron, il ne comprenait pas vraiment que même son comportement change petit à petit. Ou alors peut-être était-ce pas qu'il décelait des choses qu'il s'était toujours refusé de voir. Bon, il devenait aussi, possiblement, paranoïaque. Oui, c'était à cause du manque de sommeil... Ou peut-être que c'était aussi son début de migraine qui le prenait... Cela faisait déjà bien des jours que ça durait et il avait a peine résolut de se soigner lui-même. Enfin, s'il avait le temps...

Mais pas aujourd'hui. Le grand blond avait besoin de prendre l'air, besoin de souffler, besoin de... Juste d'être libre. De se défaire des responsabilités qui lui incombaient. Depuis trop longtemps déjà, son défi avait envahit son quotidien, au point où il ne pensait plus que stratégie au lieu de souffler quand il le devait. Les temps l'obligeaient, certes mais il fallait un break. Un break qui durerait au moins une semaine. Ou trois jours, selon la gravité des événements à venir. Pourvu qu'on lui laisse plus que vingt-quatre maigres heures pour se refaire. Ce serait court mais ce serait déjà ça de prit, au moins. Il pouvait au moins se réjouir d'avoir eu la chance de se reposer, plus qu'à l'accoutumé, du moins. Jusqu'à tard le matin. Son téléphone lui avait signifié qu'il avait raté des appels, qu'il avait des messages vocaux à profusions et des rendez-vous mais il n'avait pas daigner donner signe de vie, préférant largement envoyer un sms à sa jumelle pour signifier qu'il ne se sentait pas bien donc qu'elle devrait gérer seule, aujourd'hui. S'il avait traîné encore un moment au lit, il fallait au politicien un bol d'air. Quelque chose pour le revigorer et lui donner envie de se battre pour l'avenir meilleur qu'il souhaitait depuis un moment pour la ville et les habitants. Il devait trouver un moyen de parer à toutes les interdictions, braver les règles pour pouvoir prendre le dessus. Au vue de la situation, bien sûr qu'ils seront nombreux à le suivre, toujours plus. Ou alors ils rallieront Christina Woods, une autre adversaire bien connue de tous. Elle pouvait avoir un moyen de conquérir le peuple puisque personne n'était sans savoir qu'elle avait de son côté la NRA et que nombreux concitoyens seraient tentés par le second amendement. Qui ne l'aurait pas fait, après tout ?

Un long soupir échappa au trentenaire qui réajustait l'écharpe autour de son cou alors qu'une légère buée s'échappait d'entre ses lèvres. Son âme de petit garçon venait le faire se comparer à un dragon de glace. Ouais, un dragon de glace, pourquoi pas, hein ? Ça change des clichés habituels. Parti de là, Carter se mit à imaginer un tas d'histoire et se disait que, pourquoi pas, un jour il pourrait bosser avec des éditeurs ou autres pour faire des livres enfantins, avec des images mignonnes et des histoires plein de chevalerie et d'amour et d'amitié, le tout baveux à souhait de belles valeurs. Oui, ça rapporterait du fric mais c'était dommage d'offrir autant de mensonges aux gamins. Tout perdu qu'il était dans ses pensées, il s'était laissé porté par ses pas et s'était dirigé un peu à l'aveuglette à travers sa ville. Son café était devenu froid mais il le sirotait quand même avec une légère moue. Beurk, ce que ça craignait le café froid ! Il se sentait même de le balancer mais aucune poubelle n'était à portée. Pas grave. Il pouvait bien tenir son gobelet encore un moment. Il en passa bien une ou deux sans les remarquer puisqu'il s'était de nouveau perdu dans ses idées, son esprit travaillant à plus de cinq cents à l'heure. En fait, il n'arrivait jamais à la fin de ses pensées puisque d'autres prenaient leur place sans attendre. C'est sans doute pour ça qu'il sursauta lorsqu'on le percuta, le faisant gesticuler ridiculement et se renverser sa liqueur froide sur le haut de la chemise. Il aurait bien pesté, sans doute retenu quelques insultes contre l'univers mais pour le coup, rien ne sortit parce qu'il était encore sous le choc. Il n'avait pas pour habitude de se perdre autant donc forcément qu'il était dérouté.

Face à lui, une petite demoiselle s'excusait et s'activait pour se dépêtrer du problème canin qu'elle abordait. Le politicien serra d'abord les dents, prêt à pousser une gueulante mais il se souvint qu'il n'en avait pas besoin, que le but de sa journée était de respirer, d'être cool, tranquille. Aussi, il vint simplement prendre un mouchoir en papier dans le paquet de sa poche et s'éponger en regardant l'animal faire le cauchemar de sa maîtresse. Tranquillement, le blond se mit à ricaner et s'abaissa pour venir caresser la tête du fainéant. "Eh bien... Je vous qu'il vous cause du souci... Il faudrait peut-être voir un dresseur, non ?" dit-il en relevant ses iris azurées vers la jeune femme avant de les reposer sur la boule de poils. "C'est quoi, ton nom, petit monstre ?" qu'il rajoutait avant de se redresser pour présenter la main à l'étrangère. "Carter. Vous me devez un café maintenant et un teinturier alors autant que ça se fasse de façon amicale, non ?" fit-il avec un petit sourire aux lèvres, légèrement moqueur, il fallait avouer. Légèrement, l'homme se baissa pour récupérer le gobelet tombé quelques secondes avant et se dirigea vers la poubelle non loin afin de le balancer et revint vers la jeune femme. "Je crois que c'est le chiot le moins actif que j'ai vu de ma vie. C'est un chiot, n'est-ce pas ?" se rattrapait-il tout en faisant de son mieux pour paraître sérieux même si ça semblait peine perdue. Pour cause, le paresseux refusait toujours autant de se déplacer et c'en était presque mignon, finalement.
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Judith Lynch
Judith Lynch
Métier : Étudiante en médecine vétérinaire
Informations : -Elle adore la mode
-Elle est végétarienne
-Malchanceuse en amour

Véhicule : Prius 2016
Mer 28 Mar - 6:16

Non mais l’idée d’avoir un café en main en approchant de ma direction ! Fallait être insensé quand même. Bon d’accord, il ne pouvait pas savoir, mais c’était écrit quelque part dans les astres, voilà, plus aucune excuse. Sauf que pensant ce temps, mon chien il avait décidé de se coucher de nouveau, mais… mais non ! L’homme se nettoyait doucement avant d’être plus intéressé par mon chien que par mes excuses. Ok le chien, c’était maintenant que tu me sauvais d’une engueulade dans trois, deux, un… voilà ! Pas d’engueulade puisqu’il c’était mis à hauteur du chien pour le caresser. Merci mon Dieu, pas de gros mots ni d’agressivité ! Voir un dresseur ?

-Je suis certaine qu’il va écouter le dresseur, mais continuer de contester mon autorité, ça l’amuse…

Non mais, sincèrement Judith, comment tu osais accuser ton chien sans savoir, mais en même temps, c’était tellement vrai ! Bon, personne n’allait demander quelle autorité, parce que là, on allait réaliser le problème rapidement.

- Lucky, mais je vais peut-être le rebaptiser Bully, parce qu’il me maltraite ou Sloth vu sa rapidité légendaire…

Non mais, j’avais tous les droits de le renommer vu son tempérament. Le pire, c’est qu’il pouvait avoir plein d’énergie. Oui, oui, dans les environs de 3h du matin, quand j’ai pas envie de jouer avec lui. Vous voyez le tableau d’ici j’imagine. J’avais finalement serré la main de l’homme, Carter qu’il s’appelait. Je lui devais un café et un teinturier ?

-Euh, oui, d’accord, c’est normal. J’aime bien quand c’est amical.

Fallait arrêter de me prendre de court comme ça avec des ordres et tout. Il avait jeté son gobelet à café pour revenir vers moi et rajouter que mon chiot était le plus paresseux du monde entier. Bon d’accord, je traduis à ma façon, mais quand même. Il me demandait même si c’était un chiot. Non mais, il lui avait vu la tête ? Il avait quand même réussi à m’arracher un rire cristallin avant que je ne réponde :

-Oui, c’est un bébé berger allemand et un jour, il devrait devenir grand, fort et obéissant, mais il est mal parti avec tout ça…

Et je lui lançais un regard faussement noir pour la peine. Non mais, quand même. Allez hop ! On se lève, on se bouche, on avance.

-Le pire, c’est que je suis certaine que si je te donne la laisse, il va accepter d’avancer, il cherche juste à m’embêter.

Je disais ça surtout parce que je savais que c’était le cas. Il avançait avec mon grand-père et ma grand-mère, mais avec moi, il se couchait au sol et espérait que je le prenne comme un gros bébé. Il était terrible ce chien. Il allait me rendre folle, mais lui présenter un dresseur pourrait être une bonne idée quand même. Bon d’accord, c’était surement plus pour moi le cours de dressage. Tenter de me rendre autoritaire un peu. C’était possible ? Oh et…

-Je peux rembourser le café maintenant si tu veux, mais pour le teinturier… ça va être complexe vu que bah… tu te retrouverais très peu habillé pour rentrer chez toi…

Et je riais de moi-même à mon humour de merde, on allait accuser le manque de sociabilité et puis voilà.
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