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 Rencontre virale dans les Docks

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Raphael Lucian
Raphael Lucian
Métier : Capitaine de Police Scientifique
Informations : Nombreuses et détaillées ultérieurement
Véhicule : Yamaha diverion
Inventaire : Sig sauer SP2022, Beretta M92, matraque et couteau
Lun 30 Avr - 13:30

Toujours avec ce même sourire charmant qui la caractérisait, Susana confirma que les informations étaient bonnes. Bonnes certes, mais malheureusement connues d'elle, rien de plus ne lui était apporté et ne changeait donc rien à la situation globale. Elle en plaisanta justement en évoquant un rôle de professeur ne pouvant que distribuer les bons points sans crainte qu'un élève ne puisse lui en apprendre plus. De fait, l'autopsie allait être mené de la même manière que toutes les autres.
Le biologiste inspecta le corps afin d'énumérer les blessures. Puis enfin il participa à l'ouverture pour inspecter l'intérieur qui, malheureusement, racontait sempiternellement la même histoire. La pomme d'Adam était enfoncé, obstruant les voies aériennes supérieures, indiquant une mort par asphyxie. Les lividités étaient apparues, la tache verte abdominale montrait un clair développement bactérien de la flore instestinale et les chairs arboraient une couleur brûnatre caractéristique de rigidité. Mais, comme d'habitude avec les zombies, les quadriceps, les dorsaux et les cervicales restaient relativement souples pour permettre la mobilité. De même, la boite cranienne révéla une matière grise dense, limite chaude, comme pour les opérations sur les vivants.

"Aucune information nouvelle ..." lacha t-il presque avec dépit tout en répétant inlassablement ces mêmes gestes médicaux.
Susana en profita pour s'étendre un peu plus sur sa présence ici et ses motivations. Dans son discours elle mentionna sans détour le caractère artificiel du virus. Raphael ne manqua pas de souligner l'information avec une pointe d'étonnement.

"Attendez! Vous pensez que le virus à été crée en laboratoire? Quels indices vous permet de l'affirmer? Je sais que cette version permettrait d'expliquer bien plus facilement une hybridation entre 2 souches distinctes mais nous sommes loin de pouvoir faire bien plus qu'une invalidation pour les vaccins avec le peu d'enzyme de restriction que nous connaissons. "

Il eût voulu étayer un peu plus son point de vue mais comprît rapidement que, pour une fois, son humanisme le trahissait. Il marqua donc également une pause avant de reprendre avec un sourire un peu honteux.

"Moi qui croyait que vous étiez la plus candide de nous deux, je crois que les rôles viennent de s'inverser.
J'ai vraiment du mal à imaginer qu'on puisse se livrer à de telles entreprises dangereuse sans prévoir un confinement ad hoc ou à minima une batterie de solution de repli."


Il se tue à nouveau pour laisser l'épidémiologiste lui indiquer les découvertes récentes et la direction prise par les scientifiques. Lui aussi retira ses gants et observait avec attention les marques de dépit de son homologue dont le sourire commença à faner. c'est alors qu'il revînt immédiatement à la charge avec une force de conviction qu'elle ne lui connaissait pas encore.

"A défaut de colmater les brèches avec du sparadrap, vous permettez de maintenir les 2 bords de la plaie béante pour éviter qu'elle ne s'ouvre plus.
Une partie des réponses se trouve peut-être encore à Philadelphie? Il doit rester des écrits ou des personnes possédant encore des informations cruciales.
Détecter une primo-infection pourrait en effet permettre de limiter efficacement la propagation.
Puisque la souche est très virulente et ne necéssite aucune forme de culture. Rien ne nous empêche de tenter de nouvelles hybridations pour invalider ou détourner l'action virale.
De même, il nous reste des millions de macchabées qui sont d'autant de cobayes à ciel ouvert sur lesquels seule notre imagination nous limite: les exposer à toutes les immunoglobulines, tous les composés tératogène, radioactifs, voire animaux puisqu'ils ne sont pas atteints."


Il illustrait sa ferveur par de nombreux gestes et se laissa emporter au point de se rapprocher de la jolie brune et lui saisir à nouveau les mains.

"En somme, vous n'avez qu'un mot à dire et je vous accompagne dans toutes vos entreprises. Nous ne tomberons jamais à court de solutions si on ne limite pas nos essais!"

Puis, d'un sourire un peu plus géné, il ajouta.

"Nous avons encore la chance de vivre. Il nous faut en jouir pour réussir à réflechir correctement.
Si nous allions voir votre fille? Elle nous donnera surement une nouvelle direction à prendre."
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Olivia S. Cooper
Olivia S. Cooper
Administratrice
Métier : Chef-cuisinière
Informations : 1m57, 45kg » A passé les premiers temps de l'épidémie au Stade » Yeux verrons : Le gauche est noisette quand le droit est noir. Elle a une petite cicatrice en-dessous de ce dernier, la cause de cette bichromie. Elle voit d'ailleurs moins bien de cet oeil. » A grandi à Chicago, elle a un légère accent de la côte Est » Très habile avec des couteaux » A perdu son mari durant en Juillet 2018. Elle lui parle pour ne pas l'oublier » Était enceinte de lui au moment de sa mort, ce qui fait qu'elle n'a pas réussi à nouer des liens avec son enfant ou à le reconnaitre. Elle garde ses distances avec lui depuis sa naissance » Plutôt têtue » Parle très peu d'elle » Adore enseigner » Ne sait pas conduire » Garde les cheveux aux niveaux des épaules depuis une mésaventure avec un rôdeur » Cuisiner lui permet de se changer les idées » Mère pour la seconde fois depuis le 24 août 2020 d'une petite fille nommée Romy qu'elle a eu avec Ludwig

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Véhicule : 4x4 Jeep
Inventaire : Flacon de solution hydroalcoolique (50 mL, environ 40 utilisations), Kit de premiers soins (4 compresses stériles, produit désinfectant, 8 pansements, 2 bandages), Demi-masque filtrant anti-particules (FFP3) : filtre 99% des particules
Mar 15 Mai - 11:42

« Quels indices ? » Répéta-t-elle avant d’esquisser un sourire triste. Son regard s’embrumit instinctivement, alors qu’elle pinça les lèvres. « Je vous les ferais parvenir si vous me confiez votre adresse. Ça vous intéressera probablement. »

Les documents en intégralités, ceux qui venaient de Philadelphie. Bien entendu, pas l’intégralité, vu que certains étaient désormais classifiés par les bons soins de ses supérieurs. Mais Raphael était assez compétent et intelligent pour comprendre le fond du problème. Il lirait à travers les bandes noires qui recouvraient la majorité des feuilles. Aurait, au moins, une idée vague de ce qu’il s’était passé. Susana ne pouvait pas lui offrir mieux que ça pour l’instant mais tout ça lui pesait gros sur le cœur :

« Je pense que nous nous faisons tous des idées sur comment et pourquoi tout ça a démarré. Maintenant que c’est là, il nous faut surtout réfléchir à comment endiguer l’épidémie. » Souffla-t-elle en venant se passer une main dans les cheveux pour les ramener vers l’arrière. Ses mèches rebelles n’en faisaient qu’à leur tête : « Je… Je ne crois pas être si compétente, vous savez ? J’ai l’impression de me battre contre des chimères, et ne jamais être assez rapide, quoi qu’il arrive. »

Et elle se confiait, oui. Sur les doutes qui l’étreignaient, et sur les craintes étouffantes venant l’empêcher de dormir le soir. Raphael n’avait aucune idée d’à quel point être dans ses chaussures actuellement étaient difficiles. Surtout avec sa personnalité. Suzie se sentait maman du monde entier, et incapable d’empêcher ses enfants de mourir. Chaque victime était, finalement, sa victime. La preuve de son incompétence, et plus encore, de son échec.

« Les prochaines décisions politiques et militaires auront des conséquences désastreuses si mon équipe et moi ne trouvons pas une solution. » Ajouta-t-elle. Les possibilités se réduisaient à peau de chagrin depuis trop longtemps. Elle en voyait le bout, et ce qui se présentait à eux n’était pas réjouissant : « Nous ne nous rendons pas compte, mais… Le gouvernement ne suit plus la cadence non plus, malgré les recommandations du CDC. »

N’était-ce pas là une manière de soulager sa conscience ? Elle n’enviait pas ses collègues qui avaient échoué à Miami, ou qui avait vu tomber la Floride. Ni ceux, à venir, qui seraient dans les charniers de Central Park. Un soupir lui échappa, mais elle releva les yeux vers lui lorsqu’il lui proposa son aide :

« Vous êtes sérieux ? » Demanda-t-elle sans cacher son étonnement. « Et… Votre poste ? » Peut-être se montait-elle la tête : « Travailler avec nous prend beaucoup de temps, vous savez ? » Même si son travail sur le terrain serait utile. Ses observations pertinentes, ses connaissances déjà conséquentes… Suzie se sentit à la fois inquiète et rassurée. Un bien étrange paradoxe ! « Je… » Elle haussa les épaules, son sourire redevint triste : « Ma fille est à l’école, et… Vu ma situation actuelle je n’ai pas l’autorisation d’aller la voir. »

Le trouble gagnait sa voix, gênée par cette évidence. Il fallait qu’elle patiente, qu’elle… Qu’elle reste calme, qu’elle se fasse oublier. Se rappeler que son enfant était à la fois si loin et si près d’elle, ça la perturbait.

« Il y a quelques semaines, je suis devenue l’une des chercheuses les plus connues du web à cause d’une rencontre avec un mort sous un camion… » Expliqua-t-elle devant l’air interrogateur de son vis-à-vis. « Une notoriété dont je me serais bien passée. C’est pour sa sécurité. » Ajouta la cubaine. « Mais j’aurais été ravi de vous la présenter. A une autre occasion j’espère ? »
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Raphael Lucian
Raphael Lucian
Métier : Capitaine de Police Scientifique
Informations : Nombreuses et détaillées ultérieurement
Véhicule : Yamaha diverion
Inventaire : Sig sauer SP2022, Beretta M92, matraque et couteau
Mar 22 Mai - 17:59

Intrigué et terriblement alerte, le biologiste restait pendu aux douces lèvres de Susana qui lui offrait une manne d'informations supplémentaires qu'il lui hâtait de dévorer. Non content de satisfaire sa curiosité, sa motivation était remontée en flèche malgré les réticences évidentes de l'épidémiologiste qui renouvela oralement son défaitisme. Elle y ajouta aussi ses appréhensions quand aux futures actions gouvernementales et à la mauvaise évolution exponentielle de la situation. Raphaël se tût un instant afin de ne pas apparaître comme trop fougueux fort de toutes ces nouvelles données car, tel un enfant à qui on donne un nouveau jouet qui va assurer ne jamais s'en lasser pour finalement le laisser tomber 2 jours plus tard, lui avait une myriades de nouveaux protocoles en tête mais se rattrapa à l'expérience de sa consœur pour modérer son enthousiasme.
Malheureusement, elle embraya également sur sa situation familiale compliquée qui lui sapait le moral et entachait son énergie. Dès lors, il ne s'agissait plus simplement de pouvoir sauver le plus de monde possible mais également une course contre la montre pour enfin retrouver sa position de mère. L'anecdote qu'elle lui raconta lui permît d'ailleurs de rebondir efficacement. Sa stature se voulait à présent plus neutre et modérée afin de ne pas véhiculer de faux espoirs.

"Je suis on ne peut plus sérieux. J'ai été "prété" par la France non pas pour suppléer un capitaine en place mais pour mélanger mes connaissances aux vôtres et fournir une aide pour la lutte virale. Ainsi, si j'estime ma présence plus souhaitable au laboratoire, ma hiérarchie suivra mes recommandations. J'en suis d'autant plus sûr si le gouvernement renforce les mesures actuelles."

Organisé, Raphael s'appliquait à répondre à chacune des sollicitations de son interlocutrice. Une manière inconsciente de montrer sa lucidité et son implication.

"Peu importe le temps que cela me prendra, ma priorité sera la votre ... peut-être notamment à cause de votre notoriété d'ailleurs."

Cette fois il esquissa un léger sourire complice en vue de dédramatiser la situation qu'elle évoquait. Même si il n'avait pas réellement comprit de quoi il s'agissait, il n'hésita pas à comparer les aspects bénéfiques et maléfique de cette pseudo célébrité.

"C'est certes contradictoire mais je vous assure que le temps joue pour nous. Ce n'est qu'une question de jours avant que la population soit au fait de cette pandémie. Or plus elle prend de l'ampleur, plus nos actions contre elles effaceront tous les autres aspects moins joyeux de notre façade publique. Bientôt nos paroles et écrits seront d'or et nous aurons une totale liberté d'action."

On pouvait sentir dans son discours d'encouragements une certaine émotivité. Il se remémorait ce temps pourtant récent où il devait montrer patte blanche pour entrer dans les laboratoires et faire quelques manipulations pour espérer sauver sa fiancée alors qu'aujourd'hui qu'il n'avait plus de proche à sauver, il rentrait n'importe où d'un claquement de doigts. Il en voulait au gouvernement d'être trop frileux et trop lent à réagir pour délivrer des autorisations pourtant vitales à des hommes et femmes comme eux qui se dévouaient corps et âme pour endiguer l'épidémie.

"Vous aurez l'occasion de me la présenter. Je vous le garantie."

Sur ces paroles, lui aussi retira ses gants et se lava les mains énergiquement. Il tournait donc le dos à Susana comme pour mieux réfléchir à un angle d'attaque qui leur permettrait d’accélérer leurs recherches.

"Partons du principe que nous n'avons aucune nouvelle piste. Rien ne nous empêche de sensibiliser le gouvernement sur les dangers inhérents à un couvre feu étendu et à l'isolation des individus. Plus les gens seront proches et vigilants, moins il y aura de nids infectieux.
Il y a toujours un biais par lequel agir. Une fois que j'aurais moi aussi pris connaissance des écrits de Philadelphie, j'aurais peut-être un nouveau vecteur d'analyse.
Comme je vous l'ai proposé, reposez-vous sur moi à présent."
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Olivia S. Cooper
Olivia S. Cooper
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Métier : Chef-cuisinière
Informations : 1m57, 45kg » A passé les premiers temps de l'épidémie au Stade » Yeux verrons : Le gauche est noisette quand le droit est noir. Elle a une petite cicatrice en-dessous de ce dernier, la cause de cette bichromie. Elle voit d'ailleurs moins bien de cet oeil. » A grandi à Chicago, elle a un légère accent de la côte Est » Très habile avec des couteaux » A perdu son mari durant en Juillet 2018. Elle lui parle pour ne pas l'oublier » Était enceinte de lui au moment de sa mort, ce qui fait qu'elle n'a pas réussi à nouer des liens avec son enfant ou à le reconnaitre. Elle garde ses distances avec lui depuis sa naissance » Plutôt têtue » Parle très peu d'elle » Adore enseigner » Ne sait pas conduire » Garde les cheveux aux niveaux des épaules depuis une mésaventure avec un rôdeur » Cuisiner lui permet de se changer les idées » Mère pour la seconde fois depuis le 24 août 2020 d'une petite fille nommée Romy qu'elle a eu avec Ludwig

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Véhicule : 4x4 Jeep
Inventaire : Flacon de solution hydroalcoolique (50 mL, environ 40 utilisations), Kit de premiers soins (4 compresses stériles, produit désinfectant, 8 pansements, 2 bandages), Demi-masque filtrant anti-particules (FFP3) : filtre 99% des particules
Mer 23 Mai - 15:01

« Votre aide serait plus que bienvenue, je vous l’assure. » Souffla la cubaine avec un sourire. L’enthousiasme de Raphael était même contagieux, là où elle désespérait tout simplement de trouver une solution. Lèvres pincées, elle lui adressa un sourire sincère à la suite, pour lui confirmer que son abnégation lui était précieuse, et que ça lui faisait du bien qu’on croit encore en elle. Là où elle commençait, progressivement, à abandonner. « Et je vous serais reconnaissante de nous prêter main forte. » Fit-elle, plus formelle pour le coup.

Il le fallait, puisqu’ils parlaient tous deux de leur travail, et de l’implication que prenait l’homme en face d’elle dans celui-ci. Sa gratitude était palpable, et en bonne optimiste, chrétienne de surcroit, Suzie était persuadée qu’une seule personne était capable de faire la différence. Elle ne connaissait quasiment rien de lui, quasiment rien de ce dont il était capable. Elle ne pouvait que le deviner à sa mesure, en espérant ne pas faire tout simplement une erreur en acceptant cette collaboration. Mais les connaissances et aptitudes de Raphael ne pourrait qu’être un avantage, et sur l’instant, elle était persuadée de faire quelque chose de juste ?

« Je crains justement qu’on en arrive là. » Confia-t-elle à son vis-à-vis, sans cacher son air mitigée sur l’instant. « Science sans conscience, n’est-ce pas. » N’était que ruine de l’âme, elle n’avait pas besoin de poursuivre sa citation, un crédo pour elle. Ses années en médecine et en biologie avaient eu parfois raison de son humanité, mais elle se refusait à laisser passer cela aujourd’hui. Quoi que le monde ne lui laissait plus vraiment le choix des armes. « Je ne suis pas impatiente de voir ce qui arrivera, mais… » soupira la cubaine.

Et ça la mettait mal à l’aise. Que son absence de résultat soit un prétexte pour faire des choses qu’elle considérait comme mal. De son point de vue, après des années à l’étranger, à écumer des villages, à vivre sous le joug de gens qui choisissaient parfois qui elle avait le droit de soigner ou non,… Elle craignait les lendemains, plus que n’importe qui. Le monde était malade depuis toujours, les symptômes n’avaient pas attendu cette épidémie pour apparaitre.

« Nous empruntons cette voie de toute façon. » Retrouvant son sac à main, elle ne mit pas longtemps à en tirer son portefeuille duquel elle dénicha une carte de visite. Sobre, que le CDC lui avait fourni après son embauche. Par chance, elle n’avait pas changé de coordonnées depuis, et donc avait toujours une carte à jour ! « Mes coordonnées. Je récupèrerais les vôtres sans trop de problème. » Confia-t-elle avec un sourire amusé. « Nous nous tiendrons au courant, et vous n’aurez qu’à nous rejoindre dès que vous aurez pris connaissances des dossiers de Philadelphie… D’accord ? »

Ça semblait être un bon compromis. Son avis l’intéressait, elle avait besoin justement d’un point de vue extérieur pour voir l’épidémie sous un autre angle. Il faudrait probablement du temps pour trouver une véritable solution, mais tous les biais étaient bon à prendre dans ce cas.

« Je peux vous raccompagner ? » Demanda-t-elle. « Vous avez vu ce qu’il y avait vraiment à voir ici, donc… » Donc ça sonnait le glas de cette rencontre. Mais un nouveau chapitre allait forcément s’écrire.
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