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 Genesis.

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Tomas Gulbrandsen
Tomas Gulbrandsen
Métier : Guide de montagne
Informations : Armement: paire de piolets en titane.

Histoire: Père d'une petite fille, Cynthia. Il est venu aux Etat-Unis pour retrouver son frère Ludwig. Depuis février 2020, il est au camps de The Haven avec sa fille.

Au début de l'été, 2020, il a proposé ses services pour réhabiliter la marina et doter le camp d'un navire. C'est chose faite à partir de novembre 2020. Depuis, il effectue des allers-retours entre The haven et le NML, ainsi que des sessions de pêches.
Véhicule : Ford Mondéo
Inventaire : Beretta 90-two
Ven 19 Jan - 13:14

C’est qu’elle tire bien l’inspecteur. Trois de ces marcheurs passent l’arme à gauche sous ses balles, cependant, j’en avais compté neuf et ça ne fait que sept ? Où sont les deux autres ? Aurais-je fait une erreur ? Je l’espère sinon ça veut dire que nous avons deux mort-vivant vénères en liberté.
Mais bon! La police municipale est enfin arrivée, Maddox les envois rapidement s’occuper du plus simple et nous laisse le plus amusant. Personnellement, je leur aurais aussi demandé le fusil à pompe qu’ils doivent avoir dans la voiture. Mais je crois que nous n’avons pas le temps, alors on fera avec deux beretta et notre talent au tir. Elle me demande si j’ai besoin de munitions, ma réponse est aussi lapidaire que les trois chargeurs que j’exhibe à ma ceinture :

- Pas besoin.

Mais aurais-je vu un soupçon d’humanité ? Pragmatique certes mais preuve que je peux au moins lui faire confiance à ce niveau. Il est temps d’avancer, les cris des gamins se font entendre maintenant et le bruit de la tôle. Au coin de la rue l’inspecteur s’arrête et examine la situation. Sept zombies, me dit-elle ? Je passe la tête à mon tour et j’analyse la situation. Je pourrais effectivement me cacher et attendre, la laissant affronter seule le danger. Je pourrais.
Mais je ne le ferais pas.

Ce n’est :
-1 pas dans mon éducation de laisser un camarade seul.
-2 pas digne de mes compétences.
-3 incroyablement stupide.

La benne semble tenir bon, si on excepte le côté ultra stressant de la chose, les gamins ne risquent rien dans l’immédiat. On a le temps de réfléchir, je sens que mon cœur se calme enfin, lui qui faisait un solo de batterie depuis le début. Je retrouve cette sensation de calme, la même que j’avais en intervention. Je regarde encore et je confirme ce que je pensais.

- Oui, on pourrait faire ça. Mais on perdrait en puissance de feu, en sécurité et prendre le risque d’en laisser s’échapper un. Non, je ne suis pas d’accord, le meilleur moyen de les mettre à l’abri c’est de tuer la menace.

Je tente de rallumer ma visée laser, mais rien n’y fait. Tant pis, on devra faire sans :

- Nous sommes trois. Ils sont sept. Je compte Téméraire dans le lot. Ils sont rapides mais stupide… Ok, on pourrait… Ouais ! C’est ça.

Je me mets en plein milieu de la rue, Téméraire à mes côtés.

- Quand ils passeront devant toi. Allume-les. Un feu croisé, ça marche tout le temps.


Ils sont loin, mais je peux le faire. Calmement, je mets en cible et je tire. La première balle touche une de ces choses, dans la poitrine. Mais l’effet obtenu est suffisant. Ils se jettent tous sur moi. Je tiens ma place et je continu à tirer. Quatre balles, deux tombent. Mon chargeur claque vide, je commence à reculer calmement.

J’ai le temps.

J’engage un nouveau clip et reprend mon feu. J’ai tôt fait de passer les 12 balles du chargeur, mais deux autres tombent. Il devient difficile de les viser, la tête bouge trop.

- Téméraire, Boomerang.

Mon brave chien s’élance et percute à toute vitesse le zombie de tête. Je vous avais parlé de l’énergie déployé par un tel choc. Le monstre tombe, gênant les autres, et mon ami revient vers moi. C’est un petit tour que les chiens du RAID connaisait, alors je lui aie appris. Efficace. Des coups de feu rugissent, Maddox fait son office et abat avec précision les trois restants.
Travail d’équipe : check.

Je la remercie et on se met à avancer vers la benne, toujours aux aguets.

- J’en avais compté neuf à la porte. Mais on a en abattu que sept… Combien tu en avais compté ? D’ailleurs, il faudra revoir la conception de la dizaine chez vous. Je suis presque certain qu’il y en avait un « peu » plus.

Les cris des enfants se sont déjà calmés, on s’approche en douceur, je toque doucement sur la benne et dit :

- Marcus, Dylan. C’est Anton, ouvrez moi les gars.

La porte de la benne se soulève, je me demande comment ils ont fait pour la bloquer pendant tout ce temps. Leurs yeux sont gonflés et ils tremblent, mais tant qu’ils sont vivants, je veux bien m’en contenter. Quand ils sortent, je vois que Dylan, un petit rouquin toujours souriant, se tient le bras.

- Tu as quoi Dylan ?

Il renifle, regarde Téméraire et Maddox avant de me répondre :

- Y’en a un qui ma mordu.

Il lève sa main et je vois une profonde trace de dent luisante de sang.


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Jacob E. Ross
Jacob E. Ross
Administratrice
Métier : Rancher
Informations : Genesis. - Page 2 Ross-family1

Physique - 1m90 » 95kg » Cheveux longs ramenés en arrière, barbe de plusieurs jours mal entretenue, yeux noirs » Plusieurs cicatrices sur les mains et les bras dues à son métier » Gabarit imposant, Jacob se tient voûté pour se faire plus petit » Porte un médaillon qui appartenait à sa mère autour du cou avec une croix chrétienne

Détails - Grand timide, il bégaie face à des inconnus, ne va jamais vers les autres » Passionné par sa profession, il passe le plus clair de son temps avec les animaux » Tempérament d'apparence solitaire, Jacob aime pourtant la compagnie des autres » A été marié, deux fois » Il a un fils, appelé Victor qui a 20 ans, avec qui les relations sont compliquées, voire conflictuelles » Sa demi-sœur, Phoebe, et son demi-frère, Cooper, sont avec lui » Abhorre la violence sous toutes ses formes, il privilégie le dialogue à l'action » Les gens le trouvent faible psychologiquement, Jacob est un grand sensible, trop gentil » Fervent croyant depuis toujours » Les préceptes de New Eden sont parfois en conflit avec sa morale, il souffre silencieusement de devoir les appliquer. Jacob ne se dressera sous aucun prétexte contre l'ordre en place, trop reconnaissant que sa famille et lui soient en vie grâce à eux.

Présent -
Sam 20 Jan - 23:45

« Ils ont dû vérifier à l’intérieur… » Assura Reese en réponse à Anton, l’avisant d’un regard en coin.

Même si du coup, il lui mettait tout de même le doute maintenant qu’elle s’approchait avec lui de la benne pour sortir les deux gamins. Son arme lui donnait l’impression de chauffer encore, et elle n’osa pas la ranger dans son étui. La tension restait palpable, pour ne pas dire bouillante, et malgré la température extérieure inférieure à zéro, elle avait l’impression d’être plongé dans un volcan. Gorge serrée, elle aida les deux gosses à sortir de là, l’odeur d’ordure venant se mêler à la scène. Son attention se porte sur Dylan quand Anton lui demande ce qu’il a. Ses yeux se posèrent sur la morsure à sa main :

« Putain… » Grogna-t-elle avec une petite mine dégoûtée. Elle fit un signe, pour qu’ils s’éloignent des cadavres. Rester là ne l’enchantait pas. Pour la blessure, elle doutait : ça n’était peut-être rien, même si elle avait ouïe dire que justement, ça ne l’était pas. Elle prit une profonde inspiration, portant sa voix vers son talkie : « Central, qu’est-ce qu’on fait en cas de morsure ? »

Le silence au bout la figea un instant. Reese avait l’impression qu’une main glacée se glissait dans son dos. Ils remontèrent la rue ensemble, parvenant à entendre l’agitation dans les différents blocs de la zone. Cette dernière n’était clairement pas apaisée, et la brune ne se sentait pas de poursuivre son nettoyage intensif de Dorchester pour l’instant. Tant que son bloc restait calme, et qu’elle pouvait tenir la distance, elle n’était pas sûre que cette paix soit vraiment acquise.

« Aucune indication à ce sujet, vous voulez que je vous envoie une équipe médicale sur place ? » Demanda la voix grésillante au bout.
« Oui. Merci, terminé. » Fit-elle en se tournant vers autres. « On va voir pour rentrer… » Ou en tout cas s’enfermer quelque part pour un petit peu de sécurité.

Elle désigna à Anton le devant du batiment, où les cadavres s’amoncelaient. Une détonation à l’intérieur de l’immeuble la stoppa, et elle lui demanda de faire le tour : les deux gosses en avaient assez vu pour aujourd’hui, mieux valait repasser par la sortie de secours. Elle passa devant pour les couvrir, quand Anton fermait la marche. Incapable de savoir quoi faire quand à la morsure, cette dernière l’obsédait cependant. En grimpant les marches, elle parvint jusqu’à la porte avant de cogner violemment contre pour qu’on vienne lui ouvrir. S’annonçant, l’homme derrière repoussa l’entrée :

« C’est nettoyé ? » Demanda-t-elle fermement.
« On en a trouvé deux à l’intérieur, abattus d’une balle dans la tête. » Fit-il. Elle se tourna vers Anton, pour qu’il voit par lui-même si ça lui convenait, ou si un dixième se trouvait quelque part selon ses souvenirs. « On va boucler la rue, voir s’il n’y en a pas d’autres ailleurs. Une autre unité est en route pour nous soutenir. » Annonça l’officier.
« Et ça se passe comment ailleurs ? » Questionna-t-elle.
« Pas encore sous contrôle. » Reese pinça les lèvres.
« Des pertes à déplorer ? » Reprit-elle.
« Pas que je sache. » Termina-t-il.
« Merci. » Elle laissa le passage aux deux gamins, puis à Anton, qu’elle stoppa brièvement avant de rentrer : « A toi aussi. Pour ton aide. » Fit-elle, sincèrement. « Seule, je l’aurais pas fait. »

En fait, Reese était plutôt sûre que seule, elle se serait retrouvée coincée quelque part en attendant son heure. Et Marcus et Dylan ne seraient plus là, du tout, pour parler de cette folle soirée…
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Tomas Gulbrandsen
Tomas Gulbrandsen
Métier : Guide de montagne
Informations : Armement: paire de piolets en titane.

Histoire: Père d'une petite fille, Cynthia. Il est venu aux Etat-Unis pour retrouver son frère Ludwig. Depuis février 2020, il est au camps de The Haven avec sa fille.

Au début de l'été, 2020, il a proposé ses services pour réhabiliter la marina et doter le camp d'un navire. C'est chose faite à partir de novembre 2020. Depuis, il effectue des allers-retours entre The haven et le NML, ainsi que des sessions de pêches.
Véhicule : Ford Mondéo
Inventaire : Beretta 90-two
Mar 23 Jan - 15:57

- … Merci à toi. Je me serais certainement fait bouffer à la porte.

J’entre à mon tour dans mon immeuble, le couloir est désert et sois disant sécurisé. Néanmoins, cette soirée semble prouver que l’improbable et l’impossible est réalisable. L’arme au poing, j’entends les policiers dans le hall. Les autres habitants de l’immeuble restent rigoureusement dans leur appartement respectif et étrangement, je les comprends.

Il y a du bruit dehors.

Outre le bordel dans l’immeuble, je réalise soudain que j’entends des coups de feu et des sirènes de police dans le lointain. Cette nuit doit être un bordel absolu pour toutes les forces de polices de cette fichue ville. Je soupire et repasse devant les enfants, ils semblent perdus et Maddox ne semblent pas déterminée à rejoindre ses collègues en bas.

- On va se poser dans mon appart’. Le temps que les renforts arrivent.


J’ouvre la porte et laisse entrer les petits. Téméraire se rue dans son panier et s’endors en quelques secondes.

Quel flemmard.

Marcus et Dylan reste au milieu de la pièce et fixent la bibliothèque où j’entrepose mes souvenirs de la police. J’invitais le premier à se s’assoir sur mon lit et je trainais Dylan dans le coin cuisine. J’ignorais l’effet de la morsure, enfin, la vitesse à laquelle il allait se transformer, car d’après Maddox, une morsure et c’était terminé. J’entrepris de désinfecter la blessure et de poser un bandage bien serré. Il couine mais reste aussi digne que possible, retenant ses larmes.

- Tu es très courageux Dylan. Va t’assoir avec Marcus, mettez la télé si vous voulez. Je dois parler avec l’inspecteur. Café ? Oui j’imagine.


Je m’approche de la machine et commence la création d’un breuvage fort en substance aidant à ne pas dormir. Deux énormes tasses de presque un demi-litre. Noir comme du pétrole et sans sucre pour moi. Un litre de lait et du sucre en poudre sorte d’un placard, au cas où… Je m’assieds en face de Maddox et commence à démonter mon arme. Avec l’habitude, je n’ai même plus besoin de regarder ce que je fais, alors je détaille la policière, pour la première fois. Jeune, sportive, visiblement fatiguée mais qui semble déterminée. Plutôt mignonne également, mais je m’égare.

Un contact avec un métal brûlant me remet en place.

Je pousse un couinement indigné dans mes doigts entre en contact avec le canon brûlant de l’arme. Je place la brûlure sous l’eau froide et j’essaye de faire mine de rien. La douleur se calme un peu et je reviens à place :

- Maddox, franchement, la police maitrise encore la situation ?


Mais même sans la réponse de Maddox, j’avais une idée assez précise de la situation. Je désigne une pile de dossiers, devant faire cinquante centimètres de hauteur :

- 27 personnes disparues depuis septembre. Je n’en ai retrouvé qu’une, les membres explosés et une pioche dans la tête. Quasiment tous mes clients m’ont dit que la police de Boston était débordée. J’imagine que je ne serais pas surpris en trouvant certaines d’entre elles en bas.


Mon attention repasse à mon café, qui disparait d’une traite, et à mon arme, qui subit un brossage vigoureux. J’écoute ce que l’inspecteur veut bien me dire, mais je me garde du moindre commentaire. Je commence vraiment à fatiguer, mais je sens que c’est la merde et que je ne pourrais certainement pas dormir avant un moment. J’envie presque les deux gamins, ils ont enfin fermé les yeux… L’un d’entre eux ne les rouvrira bientôt plus et il ne sera pas le seul. Un silence de mort, brisé uniquement par les ronflements de Téméraire tombe bientôt sur la pièce. Une lumière bleue apparait soudain dans la rue, accompagnée du ronronnement particulier des camions.

- Tes collègues sont arrivés Maddox.

Je remonte mon arme en vitesse et la met à ma ceinture. Non, pas de soucis, je n’ai pas encore vu un zombie mais en fait… j’aurais préféré. Pourquoi ? Car je vois un véhicule du SWAT, accompagnant une ambulance, et une grande blonde qui en sort, avec des insignes de capitaine. Serrant les dents comme si je voulais faire du diamant avec du charbon, je fais mine de rien et secoue doucement les gamins. Il est temps pour Marcus d’expliquer ce qui s’est passé et pour Dylan, malheureusement, d’aller à l’hôpital.

Mes problèmes ne pèsent pas lourd ce soir.
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Jacob E. Ross
Jacob E. Ross
Administratrice
Métier : Rancher
Informations : Genesis. - Page 2 Ross-family1

Physique - 1m90 » 95kg » Cheveux longs ramenés en arrière, barbe de plusieurs jours mal entretenue, yeux noirs » Plusieurs cicatrices sur les mains et les bras dues à son métier » Gabarit imposant, Jacob se tient voûté pour se faire plus petit » Porte un médaillon qui appartenait à sa mère autour du cou avec une croix chrétienne

Détails - Grand timide, il bégaie face à des inconnus, ne va jamais vers les autres » Passionné par sa profession, il passe le plus clair de son temps avec les animaux » Tempérament d'apparence solitaire, Jacob aime pourtant la compagnie des autres » A été marié, deux fois » Il a un fils, appelé Victor qui a 20 ans, avec qui les relations sont compliquées, voire conflictuelles » Sa demi-sœur, Phoebe, et son demi-frère, Cooper, sont avec lui » Abhorre la violence sous toutes ses formes, il privilégie le dialogue à l'action » Les gens le trouvent faible psychologiquement, Jacob est un grand sensible, trop gentil » Fervent croyant depuis toujours » Les préceptes de New Eden sont parfois en conflit avec sa morale, il souffre silencieusement de devoir les appliquer. Jacob ne se dressera sous aucun prétexte contre l'ordre en place, trop reconnaissant que sa famille et lui soient en vie grâce à eux.

Présent -
Jeu 25 Jan - 18:35

« T’en as d’autres des questions idiotes ? » Soupira-t-elle avec la même insolence qui la caractérisait si bien. Œillade fatiguée, elle avisa l’homme d’un regard lourd, qui en disait long. Il n’avait pas besoin d’énumérer les noms, elle les connaissait pour la majorité. Sa gorge se noua cependant, et sur le ton de la confidence, elle lui répondit : « Je sais tout ça, je sais… »

Elle sentait le poids de chacune des absences. Elle regrettait à chaque fois qu’ils identifiaient un cadavre qu’ils retrouvaient dévorer par les bons soins des autres. Tout ça commençait à peser lourd, et Reese ne se rendait pas encore tout à fait compte d’à quel point c’était bien installé. Le mal était autour d’eux, parmi eux. Ils se propageaient, gagnant du terrain un peu plus chaque jour. Il n’y avait rien pour l’en empêchait, pas avec les mesures prises par le gouvernement, et les moyens qu’ils avaient à disposition. C’était vouloir colmater une brèche avec un rouleau de scotch : impossible.

« On sait même pas ce qu’on fout là, on sait même pas ce qu’on combat. Les informations filtrent pas, ou au compte-goutte, et c’est seulement parce que y’a des gens qui ressentent la nécessité de les faire sortir. » Elle leva les yeux au ciel, exaspérée devant cette évidence : « On est totalement dépassés. » Admit-elle. « Mais comment tu veux qu’on le soit pas ? »

La question se posait. Comment il le vivait, lui, de devoir affronter des morts ? Comment il supportait cette vue ? Comment il parviendrait à dormir cette nuit ? Reese se rendait compte que son sommeil dépendait d’un autre, que sa paranoïa gonflait à mesure que les jours défilaient sans lui. Elle réalisait d’à quel point tout ça la marquait, et que passait outre n’était même pas une option. Mais ça, Reese ne pouvait pas le dire : parce qu’elle ne parlait pas de ce qui lui faisait peur.

« J’ai encore du boulot. » Lança-t-elle en récupérant les quelques affaires qu’elle avait déposé sur la table. Pas grand-chose. Le café partit rapidement. « Veille ici, je repasserais p’t’être plus tard. » Lança-t-elle avant de prendre la sortie.

Cette nuit était sans fin.

FIN
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